Fais scientifiques insolites sur le sexe

Quand la Science se Mêle de Sexe : 10 Études Étonnantes !

Quand l’étude scientifique ou statistique se mêle de sexualité, les conclusions sont parfois étranges, tant dans le résultat en lui-même que dans les sujets choisis pour étude et qui peuvent intriguer quand on appartient au commun des mortels non scientifique…

Fais scientifiques insolites sur le sexe

De l’influence de la citrouille sur la libido en passant par le rapport de dimension doigt vs testicule ou l’obsession sexuelle des bonobos, voici quelque faits étonnants sur la sexualité qu’on ne connaîtrait pas si un scientifique n’avait pas eu l’idée de mettre les mains dans ce cambouis rose !

1) Les hommes pensent au sexe 19 fois par jour, les femmes 10 fois

C’est grâce à des chercheur de l’Université d’État de l’Ohio aux Etats-Unis que l’on en connaît autant sur ce qui se passe dans la tête des unes et des uns. C’est en confiant des petits compteurs manuels à 283 étudiants qu’ils en sont arrivés à ces résultats. Mention spéciale pour l’étudiant qui a pensé au sexe 388 fois pendant l’expérience !

2) La taille moyenne du pénis en érection est de 14 cm

C’est la moyenne obtenue après mesure des attributs de 1661 américains et qui a été publiée dans le « Journal of Sexual Medicine ». Sur ces 1661 volontaires, le record de petitesse était de 4 cm tandis que celui de longueur était de 26 cm ! Si vous hésitez à vous faire opérer pour allonger votre intimité, sachez que des recherches menées par des médecins d’un centre d’Andrologie et d’un institut d’Urologie à Londres ont noté que seulement 35% des hommes qui ont subi une opération d’agrandissement du pénis en sont satisfaits. Cette augmentation ne peut en effet dépasser les 1,25 cm d’augmentation !

3) Le pénis rétrécit en vieillissant

Un article publié par le Docteur Chang pour le site de médecine « webmd » nous offre ainsi cette information de réduction des choses. Ce phénomène serait dû à l’afflux de sang moins grand dans l’intimité masculine. Et ce n’est pas le seul changement opéré avec le temps à cet outil des mâles, puisque l’attribut va perdre également de sa toison de poils pubiens et le gland va peu à peu perdre sa couleur pourpre…

4) 75% des femmes qui atteignent l’orgasme pendant les rapports ont besoin d’aide extérieure

C’est à dire en fait qu’un élément extérieur au rapport en lui-même est nécessaire pour 3 femmes sur 4, à savoir un coup de « main », un coup de langue ou un coup de vibreur… C’est ce que nous apprend la journaliste Susan Donaldson James qui cite plusieurs recherches autour de l’orgasme. Elle rappelle par ailleurs qu’entre 10% et 15% des femmes ne ressentent pas d’orgasme, quelle que soit la méthode employée.

5) Les singes bonobo adorent le sexe

On avait déjà parlé de l’étrange sexualité des antechinus, ces petits rongeurs chez lesquels le mâle meurt de ses ébats trop intenses… Et bien ils ne sont pas les seuls animaux à la sexualité excessive puisque le docteur Franz de Wall, un primatologue et psychologue explique ainsi que les singes bonobo consacrent l’essentiel de leur temps à la galipette ou à des jeux sexuels dans des rapports aussi bien hétérosexuels qu’homosexuels. Il qualifie ainsi ces joyeux primates de « champions du monde de l’érotisme » !

6) La fertilité des hommes peut se lire dans la taille des doigts

On avait prétendu que la taille de la main ou des pieds pouvait donner quelques informations sur la taille de l’attribut masculin, mais il semblerait que la vérité soit légèrement décalée des deux côtés : c’est à la taille des doigts qu’il faut se fier, et celle-ci indique la taille des testicules ! Les chercheurs coréens à l’origine de cette étude ont ainsi analysé et comparé ces tailles sur 172 volontaires âgés de 20 à 69 ans, ce qui leur a permis de noter cette tendance. La raison viendrait du fait que la formation des doigts et des testicules aurait le même gène d’origine !

7) 85% des femmes sont satisfaites de la taille du pénis de leur homme, alors que les hommes ne sont que 55% à en être satisfaits

D’après le « Journal of Psychology of Men & Masculinity », la plupart des femmes seraient ainsi satisfaites de la taille du pénis de leur partenaire (qui est d’environ 14 cm en érection, si vous avez lu attentivement le fait n°2) alors que plus de la moitié des hommes aimeraient avoir un attribut différent, 0,2% d’entre eux souhaitant qu’il soit plus petit et 45% qu’il soit plus large. Une nouvelle preuve que la taille compte bien moins que la manière dont il est employé…

8) Une éjaculation humaine comprend 280 millions de spermatozoïdes, alors que celle d’un cochon en a 8 milliards

Si vous avez quelques notions d’anglais et l’envie d’en savoir plus sur les secrets des spermatozoïdes humains et animaux, allez faire un tour sur cette page de L’Université d’Oakland qui propose d’enrichir votre culture que la question en vous donnant quelques résultats d’études faites sur le sperme !

9) Le nom scientifique de l’érection du matin ou de la nuit est : « tumescence pénienne nocturne »

Saviez-vous, messieurs, que votre franche rigidité matinale était dotée d’une appellation scientifique aussi sérieuse ? Il s’agit d’un phénomène connu par tous les mâles humains ne souffrant d’aucun problème d’érection et qui consiste en des érections qui se répètent entre trois et cinq fois par nuit ! Mais les hommes ne sont pas les seuls à connaître cette envolée nocturne, les femmes peuvent également avoir une tumescence du clitoris ou une humidification du vagin pendant le sommeil !

10) L’odeur de la citrouille stimule l’intimité masculine

C’est grâce à la « Fondation pour la recherche et le traitement du goût et de l’odeur » basée à Chicago que l’on connaît désormais ce pouvoir étonnant de la citrouille ! En effet, l’odeur de celle-ci stimulerait le flux sanguin dans la zone intime de l’homme qui la sent. Après le chocolat, les fraises ou le gingembre, vous pourrez ajouter un nouvel aliment à la liste des aphrodisiaques réputés !

Science et futur

Vous voilà informé mieux que quiconque de l’avancée de la science dans le domaine sexuelle, en espérant que ces prises de consciences soudaines ne vont pas vous inciter à observer systématiquement la longueur des doigts masculins ou à regarder toutes ces têtes de citrouille d’Halloween avec un sentiment de malaise… Et si vous craignez qu’un jour, la science cesse de vous alimenter en information fascinante de ce type, soyez rassuré, car comme disait le poète Henri Michaux :

« Toute science crée une nouvelle ignorance »

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